Le jeudi 28 novembre 2024 – L’Association des galeries d’art contemporain (AGAC) et la Ville de Montréal étaient réunies hier soir pour attribuer le Prix Pierre-Ayot et le Prix Louis-Comtois. Plus d’une centaine de personnes sont venues célébrer les lauréat·e·s, ainsi que les quatre artistes finalistes lors la soirée qui avait lieu à la Chaufferie du Cœur des sciences de l’UQAM. Cette année, les artistesFatine-Violette Sabiri et Yann Pocreau sont les lauréat·e·s des prix d’excellence en arts visuels.
« La Ville de Montréal est fière de mettre en lumière les talents exceptionnels des artistes en arts visuels, qu’ils soient émergents ou établis. Ces prix, en hommage à Pierre Ayot et Louis Comtois, ne sont pas de simples distinctions : ils incarnent notre engagement indéfectible envers la créativité et l’innovation. Chaque année, nous observons avec une immense fierté l’impact transformateur de cette reconnaissance sur la carrière des finalistes et des personnes lauréates. Notre partenariat avec l’AGAC est un pilier fondamental de cette initiative, et nous sommes résolus à continuer de soutenir l’excellence artistique qui fait de Montréal une métropole culturelle dynamique et inspirante. », a exprimé la responsable de la culture, du patrimoine, de la gastronomie et de la vie nocturne au sein du comité exécutif, Ericka Alneus.
« Toutes nos félicitations aux artistes lauréat·e·s ! Les prix d’excellence représentent une reconnaissance et un soutien essentiel pour les artistes d’ici. D’ailleurs, l’AGAC salue la Ville de Montréal pour son engagement important envers nos créateurs, en particulier sa volonté de placer l’art actuel au cœur de la Collection municipale. Ce partenariat avec la Ville de Montréal, que nous entretenons avec fierté depuis trois décennies, est une collaboration qui nous est chère », a affirmé Anie Deslauriers, directrice de l’Association des galeries d’art contemporain.
Le jury chargé d’évaluer les candidatures était composé des cinq professionnel·le·s du milieu des arts visuels : Manel Benchabane (Commissaire, Galerie Stewart Hall), Anaïs Castro (Conservatrice adjointe, Musée des beaux-arts du Canada, commissaire et auteure), François LeTourneux (Conservateur et responsable de l’action culturelle, Musée d’art contemporain de Montréal), Caroline Monnet (Artiste) et Jonathan Shaughnessy (Directeur, Initiatives en conservation, Musée des beaux-arts du Canada).
Fatine-Violette Sabiri
Lauréate du Prix Pierre-Ayot
« Née au Maroc, Fatine-Violette Sabiri développe une pratique mêlant photographie, supports tactiles et techniques artisanales traditionnelles, dans une démarche profondément autobiographique. Inspirée par des rencontres et des objets du quotidien, elle s’appuie sur son intuition pour explorer des récits personnels empreints de sensibilité. Son œuvre, marquée par son expérience migratoire et sa transformation culturelle depuis son arrivée à Montréal, reflète un dialogue intime entre identité et mémoire. Le jury a salué la sensibilité et l’élégance avec lesquelles Sabiri traite les images et les objets qu’elle réinterprète, conférant à son travail une profondeur poétique et universelle. Le travail de Sabiri offre une exploration vibrante et sensible des récits identitaires contemporains. »
L’artiste est représentée par la Galerie Eli Kerr à Montréal.
Soulignons également l’excellence du travail des deux artistes finalistes du prix Pierre-Ayot, Laïla Mestari et Michaëlle Sergile.
Le jeudi 28 novembre 2024 – L’Association des galeries d’art contemporain (AGAC) et la Ville de Montréal étaient réunies hier soir pour attribuer le Prix Pierre-Ayot et le Prix Louis-Comtois. Plus d’une centaine de personnes sont venues célébrer les lauréat·e·s, ainsi que les quatre artistes finalistes lors la soirée qui avait lieu à la Chaufferie du Cœur des sciences de l’UQAM. Cette année, les artistesFatine-Violette Sabiri et Yann Pocreau sont les lauréat·e·s des prix d’excellence en arts visuels.
« La Ville de Montréal est fière de mettre en lumière les talents exceptionnels des artistes en arts visuels, qu’ils soient émergents ou établis. Ces prix, en hommage à Pierre Ayot et Louis Comtois, ne sont pas de simples distinctions : ils incarnent notre engagement indéfectible envers la créativité et l’innovation. Chaque année, nous observons avec une immense fierté l’impact transformateur de cette reconnaissance sur la carrière des finalistes et des personnes lauréates. Notre partenariat avec l’AGAC est un pilier fondamental de cette initiative, et nous sommes résolus à continuer de soutenir l’excellence artistique qui fait de Montréal une métropole culturelle dynamique et inspirante. », a exprimé la responsable de la culture, du patrimoine, de la gastronomie et de la vie nocturne au sein du comité exécutif, Ericka Alneus.
« Toutes nos félicitations aux artistes lauréat·e·s ! Les prix d’excellence représentent une reconnaissance et un soutien essentiel pour les artistes d’ici. D’ailleurs, l’AGAC salue la Ville de Montréal pour son engagement important envers nos créateurs, en particulier sa volonté de placer l’art actuel au cœur de la Collection municipale. Ce partenariat avec la Ville de Montréal, que nous entretenons avec fierté depuis trois décennies, est une collaboration qui nous est chère », a affirmé Anie Deslauriers, directrice de l’Association des galeries d’art contemporain.
Le jury chargé d’évaluer les candidatures était composé des cinq professionnel·le·s du milieu des arts visuels : Manel Benchabane (Commissaire, Galerie Stewart Hall), Anaïs Castro (Conservatrice adjointe, Musée des beaux-arts du Canada, commissaire et auteure), François LeTourneux (Conservateur et responsable de l’action culturelle, Musée d’art contemporain de Montréal), Caroline Monnet (Artiste) et Jonathan Shaughnessy (Directeur, Initiatives en conservation, Musée des beaux-arts du Canada).
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Fatine-Violette Sabiri
Lauréate du Prix Pierre-Ayot
« Née au Maroc, Fatine-Violette Sabiri développe une pratique mêlant photographie, supports tactiles et techniques artisanales traditionnelles, dans une démarche profondément autobiographique. Inspirée par des rencontres et des objets du quotidien, elle s’appuie sur son intuition pour explorer des récits personnels empreints de sensibilité. Son œuvre, marquée par son expérience migratoire et sa transformation culturelle depuis son arrivée à Montréal, reflète un dialogue intime entre identité et mémoire. Le jury a salué la sensibilité et l’élégance avec lesquelles Sabiri traite les images et les objets qu’elle réinterprète, conférant à son travail une profondeur poétique et universelle. Le travail de Sabiri offre une exploration vibrante et sensible des récits identitaires contemporains. »
L’artiste est représentée par la Galerie Eli Kerr à Montréal.
Soulignons également l’excellence du travail des deux artistes finalistes du prix Pierre-Ayot, Laïla Mestari et Michaëlle Sergile.